Vie étudiante

Mon parcours scolaire

Aujourd’hui, j’ai décidé de vous parler de mon parcours scolaire. En effet, dans mon dernier article, je vous parle de la licence informatique. Cependant, je suis passée par plusieurs phases et plusieurs envies lors de mes années collège et lycée. J’espère que vous êtes prêt, car j’ai eu un parcours assez mouvementé. 

Le collège

En arrivant au collège, je ne plus sûre de ce que je voulais faire à ce moment-là, mais c’était, sûrement, vétérinaire. J’ai redoublé ma 6ème, ensuite, toutes mes années se sont enchaînées normalement. Pendant ces années, j’ai eu plusieurs choix de parcours différents. Le premier était journaliste parce que j’adorais écrire et que ce métier me donnait envie. Ensuite, j’ai été harcelée et une amie à moi allait très mal, j’ai été à son écoute et j’avais envie de l’aider pour aller mieux. Cette période m’a donné envie de faire psychologue pour aider les jeunes victimes de harcèlement. C’était mon combat, et ça l’est toujours aujourd’hui.

J’ai fini ma troisième en ayant mon brevet et avec l’idée de devenir psychologue.

Le lycée

La seconde générale

Comme dit précédemment, je suis arrivée en seconde générale avec l’envie d’être psychologue. Pour moi, la seconde, c’est un peu une année de césure où on doit décider de notre avenir. Je parle de ça, car, lorsque j’étais au lycée, on avait les filières L, ES ou S en général. Aujourd’hui, les filières n’existent plus.

Étant donné que mon envie était de devenir psychologue, je pensais m’orienter vers la filière littérature. Néanmoins, ma matière préférée était les mathématiques, et oui. J’avais de très bonnes notes et une bonne moyenne, alors, quand j’ai dit à ma prof de maths que je voulais aller en L, elle a boudé. Ce n’est même pas une blague, elle a convoqué mes parents et elle a essayé de me convaincre d’aller en S parce que, sinon, ça gâcherait mon potentiel. En plus de ça, je n’étais pas super bonne dans les matières littéraires.

Et c’est grâce à elle que je me suis retrouvée en S.

La filière scientifique

C’est, donc, tout naturellement, que je me suis retrouvée en première scientifique. Cette année-là, je change de lycée ce qui va engendrer pas mal de problèmes au sein de mon apprentissage. Il me semble que je suis arrivée avec l’intention de faire des études de psychologie par la suite. Mais cette idée a vite été remplacée par une autre. En effet, j’ai fait ma journée d’appel. Vous savez la journée la plus longue de notre vie qui nous apprend rien de spécial. Et bien, moi, j’y ai appris une chose : la cybercriminalité. Avant cette journée, j’avais vu une série “Les Experts Cyber” qui m’avait super intéressée, mais je ne m’étais pas penchée sur le sujet plus que ça. Lorsque le gendarme a parlé de la cybercriminalité dans la gendarmerie, je me suis directement renseignée et je me suis dit : c’est pour moi.

À partir de ce moment-là, je voulais entrer dans la gendarmerie pour, après 5 ans en tant que sous-officier, me spécialiser en cybercriminalité. Une drôle de vocation non ? En fait, pas tant que ça. Vous vous rappelez de mon harcèlement ? Ça s’est passé sur Facebook et la cybercriminalité permet de limiter le harcèlement en ligne.

Je ne vais pas vous mentir, mes années de première et de terminale ont été assez compliquées. J’adorais les mathématiques et je suis tombée sur la pire prof du monde. Je la détestais et elle me détestait. Ma moyenne est passée de 15 à 6 ou 7, c’était une catastrophe. En terminal, on doit choisir une option, enfin, on devait. Dans mon lycée, il y avait svt, physique, maths ou isn. C’est quoi ISN ? Informatique et Sciences du numérique. Vous vous doutez bien que c’est ce que j’ai choisi.

L'option ISN

On rappelle, je voulais entrer dans la gendarmerie pour me spécialiser dans la cybercriminalité. Qui dit cyber dit informatique et l’ISN était la meilleure option pour voir les bases de l’informatique : le python🤮. Je vous jure que c’était horrible, j’ai détesté la programmation, mais mon objectif restait le même malgré tout. J’avais parlé avec des gendarmes en leur expliquant mon but et pourquoi je voulais faire ce métier. Ils m’ont conseillé d’avoir un diplôme et de passer le concours de sous-officier après tout ça. À ce moment-là, j’aimais déjà YouTube et les vidéos et je faisais un peu de montage dans ma chambre. J’ai cherché quelque chose qui pouvait me plaire et j’ai trouvé le DUT MMI (Métiers du multimédia et de l’internet). Il fallait mettre les vœux sur APB, j’ai, donc, mis le DUT dans les premiers choix et mes deux derniers étaient la licence informatique. Si vous avez lu mon article précédent, vous connaissez la suite. J’ai eu mon baccalauréat de justesse et j’ai été refusée de mes vœux en DUT. Donc, let’s go la licence informatique. Si vous voulez plus de détail la concernant, j’en ai fait un article.

Les études supérieures

La licence informatique

En arrivant en première année, j’étais toujours dans l’optique de passer le concours de gendarmerie après la licence informatique. En plus de ça, ma première année s’est super bien passée et j’ai beaucoup aimé la licence informatique, surtout le web.

En deuxième année, j’ai beaucoup moins aimé et j’ai même redoublé. Une amie à moi en avait, aussi, marre de la licence informatique et en ayant eu sa deuxième année, elle est allée en licence professionnelle pour se spécialiser dans ce qu’elle aimait. Elle m’a inspirée et j’en avais marre de la licence informatique, je me suis, alors, inscrite au concours de gendarmerie pour octobre 2019. Je savais que si on réussissait le concours, il aurait fallu du temps pour intégrer une école. Je l’ai, donc, passé en même temps que ma deuxième L2. Je me suis présentée à la première épreuve : l’expression écrite et j’étais sur un groupe Facebook avec d’autres personnes qui passaient le concours. Certains le repassaient, car ils avaient échoué cette épreuve ou les suivantes. Je dois avouer que je ne m’étais pas autant préparé que certains, mais comme j’aimais écrire, je me suis lancée.

J’ai fait l’épreuve, j’ai attendu les résultats, et J’AI RÉUSSI ! J’étais trop contente et me voilà sélectionnée pour la suite des épreuves, dont l’épreuve sportive. Il faut savoir que je ne suis pas sportive et que j’étais quasiment sûre d’échouer. J’ai eu une énorme remise en question et j’ai décidé d’arrêter, de ne pas me présenter aux prochaines épreuves. Sauf que, si j’arrête, il faut que je trouve autre chose parce que c’était impensable que de rester dans cette licence. J’ai fait mes recherches et j’ai trouvé la licence professionnelle e-commerce et marketing numérique. J’ai postulé dans plusieurs écoles en France et j’ai été acceptée à l’IUT Lyon 1. J’ai, ensuite, cherché une entreprise et trouvé à Lyon.

Mon principal objectif était d’avoir mon DEUG Informatique pour partir de cette licence !!

La licence professionnelle E-Business

Je suis, actuellement, dans cette licence professionnelle. C’est pour ça que je ne vais pas m’attarder sur le sujet. Cette licence me plaît énormément et les projets que nous effectuons m’intéressent fortement ! De plus, j’effectue la licence en alternance dans l’entreprise JLR Distribution où je gère les sites internet Retail France et Clictill. Mais, aussi, je gère les réseaux sociaux, je crée du contenu pour les blogs, je crée des campagnes emailing… Mon travail est varié et je touche à pleins de points du marketing et c’est ce que je préfère. Ça casse la routine et je ne fais pas tout le temps la même chose. 

En entrant dans cette licence, je voulais devenir Community manager. Finalement, je ne suis plus sûre de mon choix, car j’aime beaucoup faire des sites internet et coder en HTML et CSS. Ces études me plaisent vraiment et je suis heureuse d’avoir trouvé le domaine et le métier qui me correspond. J’espère que vous trouverez le vôtre. 

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